Les Histoires Érotiques Du Couple Warda Et Slim : LHomme À La Voiture Noire, Première Partie
Les histoires érotiques du couple Warda et Slim
Lhomme à la voiture noire, Première partie
Jai fait la connaissance, il y a environ deux ans, du couple formé par Warda, une superbe plante toute en sensualité, mais encore bridée par tous les tabous moraux et sociaux que lislamisme triomphant a encore beaucoup accru, et Slim, un homme à lesprit plus libre, bien que lui aussi tienne compte, mais pour les contourner intelligemment, des interdits imposés par les traditions de la société algérienne.
Le couple sest constitué, il y a une douzaine dannées Warda doit avoir environ trente-cinq ans et Slim quarante sur la base dune rencontre amoureuse, qui a débouché sur un mariage heureux. Leur bonheur avait eu, dès le début, une solide assise sexuelle et érotique. Lhomme et la femme partageaient, en effet, la même passion pour une consommation sans modération de sexe et dérotisme. Tous deux considéraient quun couple ne peut tenir que sil existait une complémentarité sexuelle très forte entre les deux éléments qui le constituaient.
Pour ce couple, hors normes, le sexe doit être vécu de manière libre et sans tabous, y compris dans un pays comme le notre, où la religiosité et lhypocrisie sociale ont fait le lit dune nouvelle religion, faite de rigorisme et dinterdits. Bien entendu, il na jamais été question pour eux de défier la société dans laquelle ils vivent : ils savent pertinemment quils seront toujours perdant et que le glaive des gardiens du temple sabattra sans pitié sur eux, sils osaient défier frontalement la morale dominante. Par contre, le couple vit depuis longtemps déjà, mais discrètement, une vie érotique libre et débridée, avec tous ceux et toutes celles et ils sont beaucoup plus nombreux quon pourrait le croire - qui pensent et vivent comme eux.
Nous avons très vite sympathisé. Etant du genre intellectuel libre penseur, et acceptant volontiers toutes les idées, y compris celles qui peuvent être considérées comme perverses, je me suis rapidement mis dans les bonnes grâces du couple, avec lequel je suis devenu très ami.
Ce qui leur manque, cest dassumer leur vie amoureuse libre, sans que le glaive de la bonne morale ne leur tranche la tête. Warda et Slim mont très vite fait confiance et se sont mis à me raconter tous leurs fantasmes érotiques et la pratique quils en font, qui sont parfois extraordinaires, compte tenu du contexte social et religieux dans lequel ils vivent. Les choses pour eux se sont déroulées progressivement. Ils ont dabord pris le temps de consommer tous leurs fantasmes érotiques « avouables » (cest-à-dire, toutes les pratiques sexuelles qualifiées de perverses par la société comme toutes les positions du kamasoutra, la sodomisation, la fellation, la bisexualité) avant darriver, il y a environ deux années à leur situation actuelle, qui hésite entre ladultère (ou le «cocufinage», comme lappelle poétiquement Warda) et le candaulisme.
Dans le couple cest surtout Warda la plus loquace. Cest toujours elle qui raconte, parfois avec délectation et sans fausse honte, leurs aventures érotiques. Ce fut elle qui mavait raconté comment ils sétaient rencontrés, et comment immédiatement, ils sétaient aimés, y compris physiquement. En ce temps là, elle venait davoir vingt ans et elle était vierge et innocente (une innocence toute relative, bien entendu, puisquelle avait déjà eu quelques flirts et quelle connaissait, théoriquement, tout sur le sexe et la manière de le pratiquer. Mais au moment où elle se donna à Slim, elle était vraiment vierge - une vierge de partout ! Comme disait une de mes amies, qui elle ne létait plus depuis très longtemps).
Elle avait été immédiatement séduite par Slim, qui sans être un Apollon, était bien de sa personne : assez grand, épaules larges, mince, brun, le visage buriné par le soleil et le vent, les yeux petits et rieurs et une bouche gourmande, voulant croquer la vie à belles dents. Et de plus, il était intelligent et cultivé ! Warda mavait avoué, que cétait parce quil était cultivé et quil savait parler intelligemment de tout, quelle lui avait cédé aussi rapidement. Elle mavait même avoué, que quand elle était avec lui, elle se sentait elle-même intelligente ! Cest dire limpact quavaient les idées de Slim sur le déroulement de la vie amoureuse de sa femme !
Dès le début, elle avait compris que cétait un homme de parole et quelle pouvait lui faire confiance. Ce fut dailleurs à cause ou grâce à cette confiance quelle sétait offerte à lui, sans aucune crainte, ni réticence, dès le début de leur rencontre. Cest aussi cette confiance quelle avait mise en lui, qui lavait poussée à partager et à expérimenter tous leurs fantasmes sexuels communs. Aujourdhui encore, ils sont aussi amoureux lun de lautre quau premier jour : ils continuent de se parler constamment et de savouer tous leurs désirs et fantasmes; même les plus inavouables.
De temps en temps, et aujourdhui encore, ils regardent ensemble des vidéos de sexe et surtout lisent beaucoup dhistoires érotiques, qui les émoustillent au-delà du convenu. Ils font lamour comme des fauves ! Disent-ils en tous lieux et tous temps, et à nimporte quelle heure du jour et de la nuit. Dès que le désir sannonce, ils se laissent prendre dans ses rets, et rien, absolument rien, ne peut les empêcher de grimper aux rideaux et de senvoler vers le septième ciel. Le septième ciel est dailleurs, leur résidence préférée.
Ce fut, me raconta, Warda, au cours dun de ces moments torrides que Slim, pris par le désir et lexcitation, sétait mis à lui poser des questions, quelle trouvait bizarres :
- Tu te fais souvent draguer dans la rue ? Dis-moi ! Tu te fais draguer ?
Il disait cela, tout en lembrassant et en la caressant; comme si cette question avait pour lui une importance vitale.
- Oui, je me fais souvent draguer, mais depuis une semaine, cest un peu exceptionnel : il y a un jeune homme superbe, qui conduit une très belle voiture noire, qui narrête pas de me harceler. Il me fait des signes de la main pour que je le rejoigne dans sa voiture. Comme je ne réponds pas, il me suit un moment, avant de sen aller. Et il recommence le lendemain. Je crois vraiment quil en pince pour moi.
- Il te plait ? Il est beau ? Tu as envie de lui ?
- Oui ! Il est vraiment très beau !
- Pourquoi tu ne montes pas avec lui ? Tu devrais le faire ! Tu y prendras certainement beaucoup de plaisir ! Tu me raconteras ! Ça me fera bander !
Warda mavoua avoir été étonnée de voir le sexe de son mari prendre des proportions monumentales, en lui parlant comme cela. Il lui semblait que rien quà lidée de limaginer entre les bras dun autre homme, et surtout quelle y prenne du plaisir, augmentait très fort son excitation. Quun homme ait envie delle et quelle aussi ait envie de lui, accroissait considérablement le désir que Slim avait delle. Elle en avait été étonnée et mit du temps à intégrer cette nouvelle donne dans sa tête. Et puis, elle se laissa entraîner dans une aventure, totalement inédite, à laquelle, elle ne sattendait vraiment pas. Elle en prit beaucoup de plaisir. Et Slim aussi !
Cest autour dun bon repas, dans un gentil restaurant du centre dAlger, que le couple me raconta la suite de cette histoire bizarre, mais superbement érotique. En fait, ce fut Warda qui racontait et Slim ne faisait quacquiescer et préciser certains détails.
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Quand jai vu combien mon mari était excité à lidée que je monte dans la voiture avec un inconnu pour moffrir à lui, je me mis à réfléchir sur mes propres sentiments. Sans aucun doute, jétais amoureuse folle de mon mari et quil nétait absolument pas question pour moi de faire quoi que ce fût qui maurait fait perdre son amour. Dun autre côté, je me suis rappelée que les quatre ou cinq fois que javais rencontré linconnu à la voiture noire, jétais vraiment tentée de monter avec lui. La seule chose qui mavait retenue, outre la pudeur naturelle qui manimait alors, cétait les quen dira-t-on des gens (entre autres, ceux de mes collègues de travail). Je savais que la morale dominante ne me pardonnerait pas un faux pas de ce genre.
Mais par-dessus tout, cétait mon amour pour Slim qui mempêchait de trop penser à linconnu, pensant que son libéralisme sexuel affiché, ne pouvait pas aller jusquà cette limite. Je croyais vraiment quil nétait pas question pour lui de me partager avec quiconque. En fait je me forçais à ne pas trop penser à mon bel inconnu, alors quau fond de moi, jétais vraiment prête à moffrir à lui, tant il me plaisait. Je pense même le lui avoir montré, une fois, en lui souriant et en le regardant avec des yeux de biche énamourée.
Ce fut donc Slim qui ouvrit les vannes de mon désir de moffrir à mon bel inconnu. Ce fut lui, qui en minterrogeant sur mes fantasmes dadultère, me fit percevoir très nettement mes désirs cachés.
- Dis-moi que tu as envie de monter avec lui dans sa voiture et de te faire tirer, me dit-il, pendant quil me caressait la chatte.
- Oui jai envie de monter avec lui ! Jai envie quil me tire ! Dans la voiture !
- Dans la voiture ? Pourquoi pas dans une chambre dhôtel ? Cest plus bandant ! Dans une chambre dhôtel, comme un couple illégitime ou même comme une pute !
- Cest vrai, jai toujours rêvé me faire tirer dans une chambre dhôtel par un homme que je ne connais pas !
Ce fut à ce moment là que je pris réellement conscience que Slim bandait plus que dhabitude. Il était au bord de lapoplexie, tant il était excité. Et cette nuit là, il me fit lamour avec encore plus dintensité quauparavant. Il jouit, et me fit jouir, vraiment très fort, me laissant avec des tas de questions sur ce que cela pouvait vraiment signifier. Le lendemain matin, je me rappelai notre discussion de la veille et eut encore du mal à croire ce que javais entendu et vécu cette nuit là. A midi, je sortis de mon travail pour aller prendre un sandwich dans un fastfood pas très loin. La voiture était encore là et le bel inconnu, que je me mis à dévisager sans vergogne, me fit encore le signe de venir le rejoindre dans son véhicule.
Je ne répondis pas quelque chose de plus fort que mon désir de courir le rejoindre, me retenait encore. Probablement la peur du scandale et mon incrédulité quant au désir réel de Slim, sur le comportement que je devais avoir. Javais encore des doutes. Je méloignai donc de la voiture, mais je ne pus mempêcher, contrairement aux autres jours, de me retourner plusieurs fois pour regarder linconnu. Je lui montrai par là, quil avait fait mouche et que javais vraiment envie de répondre à son invitation. Dailleurs, son sourire carnassier et le geste de salut quil me faisait de la main, touts les fois que je me retournais, mindiquait quil avait saisi le message : pour lui cétait dans le sac ! Il navait plus quà patienter.
En rentrant à la maison, jattendis que mon mari remette le sujet sur le tapis, pour lui raconter ce que javais ressenti vis-à-vis de mon beau séducteur. Slim avait tout de suite remarqué que quelque chose en moi avait changé. Javais lair plus contente que dhabitude. Je souriais aux anges, comme si mes pensées étaient ailleurs.
- Tu as rencontré ton dragueur ? Tu es montée ave lui ?
- Oui pour la première question ! Non pour la deuxième ! Répondis-je nonchalamment.
- Tu nas pas eu le courage de sauter le pas ! Je te croyais plus décidée ! Je croyais que rien ne pouvait tarrêter quand tu bandes pour quelquun !
- Jai voulu laisser passer encore quelque temps, avant dy aller franchement ! Je voulais massurer que cest vraiment cela que tu veux ! Tu veux vraiment que jaille moffrir à un inconnu ? Que je prenne du plaisir dans ses bras ? Que je me fasse tirer comme une pute? Si tu me dis oui, et que tu massures que cest vraiment cela que tu veux, demain je saute le pas !
- Oui, cest vraiment ce que je veux ! Je veux que tu grimpes aux rideaux et que tu me racontes ! Jaimerais vraiment assister à la scène ! Mais cette fois-ci, je me contenterai, de ce que voudras bien me raconter. Allez ! Viens membrasser !
Cette nuit là encore nous fîmes lamour comme des bêtes. Et nous jouîmes très fort. Lui et moi pensions à linconnu pendant que nous baisions ensemble : moi je mimaginant déjà dans une chambre dhôtel avec mon inconnu qui me tirait debout contre un mur ou contre une porte; lui imaginait mes cris de plaisir au moment où lhomme me prenait avec force et sans retenue. Ce fut cette nuit là que javais réellement compris que javais vraiment le feu vert de mon mari, pour franchir la ligne rouge !
Le lendemain, à midi, je quittais mon lieu de travail, toute émoustillé à lidée de monter à côté de mon inconnu et de le laisser memmener là où voudra bien me tirer. En fait, je navais pas de préférence : dans un coin désert, pour me tirer dans la voiture (celle-ci semblait très spacieuse et pouvait permettre des ébats torrides sur la banquette arrière) ; chez lui, sil vivait seul ou si son appartement était momentanément libre ; ou bien dans un hôtel, en me faisant passer pour son épouse. Jen étais là à monter toutes sortes de scénarios et ne pensais absolument pas à la déception qui mattendait : mon inconnu nétait pas au rendez-vous !
Jen fus vraiment désespérée. Jattendis presque une demi-heure, pensant quun fâcheux contretemps lavait mis en retard. Mais rien ! Pas la moindre trace de mon inconnu ! Je retournais bredouille, à la maison (javais pris la demie journée et ne pouvait donc pas retourner au travail). Jétais de mauvaise humeur et même Slim, avec toute sa gentillesse habituelle, navait pas pu me rendre le sourire. Javais même refusé, pour la première fois, de faire lamour avec lui, tant jétais déçue. Et mon brave mari ne men voulut même pas ! Il avait parfaitement compris ce qui se passait en moi : ma déception et surtout, mon désarroi en pensant que javais définitivement perdu mon inconnu, qui avait fini par perdre patience, devant mes refus répétés de me laisser séduire.
Le lendemain, je sortis comme à mon habitude à midi de mon travail, sans trop despoir, mais toute tremblante tout de même à lidée quil sera peut-être là. Et miracle ! Il était bien là ! Je marrêtai un instant pour bien vérifier que cétait bien la même voiture noire et le même inconnu qui me souriait, tout en ouvrant la portière avant droite pour que je monte. Javais les jambes flageolantes démotion, mais, sans même y réfléchir (ni penser à ce que les gens qui me connaissaient dans le quartier, pouvaient penser et dire de moi) je mengouffrai dans la voiture, qui démarra aussitôt, avec un crissement de pneus, qui fit se retourner tout le monde (cétait vraiment fichu pour la discrétion !).
- Bonjour ! Fit-il. Je mappelle Sofiane ! Toi cest Warda ! Nest-ce pas ? Je te connais un peu. Je suis venu il y a une semaine à ton travail, voir ton directeur dans le but de régler quelques problèmes professionnels. Tu ne mavais pas vu, mais moi javais immédiatement été frappé par la forte sensualité qui se dégageait de toi et jai tout de suite eu envie de te tirer ! Tu nes pas choquée jespère ! Je suis toujours aussi direct !
- Non ! fis-je en mefforçant de cacher lémotion très forte qui métreignait et qui faisait trembler ma voix. Comment connais-tu mon prénom ?
- Cest ton directeur qui me la donné, quand je lui ai posé la question ! Il ne peut rien me refuser (en fait, il ne peut rien refuser à mon père, qui est son plus gros client : cétait pour lui que je faisais la démarche professionnelle, dont je tai parlé tantôt). Il mavait dit que je faisais fausse route avec toi, que tu étais sérieuse, mariée et très amoureuse de ton mari. Mais comme jaime les chalenges difficiles, je me suis promis de te séduire. Dis-moi que tu es séduite ! Que je te plais ! Que je suis irrésistible !
- Que de prétentions ! Je ne suis pas séduite; je suis curieuse de voir de plus près cet énergumène qui me drague comme cela, sans aucune honte ! En fait, tu es vraiment quelconque !
Je ne sais pas pourquoi je suis allée dans la voie de la provocation : au fond de moi, je me disais « bon Dieu, quest-ce quil attend pour me tripoter ? Quest-ce quil attend pour me montrer quil a envie de moi ? » Jétais toute excitée et je voulais tendre la main sur le devant de son pantalon, pour voir sil bandait et sil était aussi excité que moi. Mais au lieu de cela, je me laissais aller à le provoquer.
- Tu dis nimporte quoi ! répondit-il à mon attaque. Je suis sûr quhier tu as été très déçue de ne pas me voir. Je parie que tu tétais même préparée pour monter avec moi ! Et même si tu prétends que cest faux, je ne te croirais pas. Je sais juger leffet que jai sur les femmes. Et sur toi, cest un effet extrême : tu coules littéralement ! Je suis sûr que si je touchais ta culotte, je la trouverais complètement mouillée ! En fait, moi aussi je métais préparé pour hier, mais jai dû faire une démarche professionnelle urgente pour mon père, qui mavait pris plus de temps que prévu ! Jétais vraiment déçu, et très énervé, de navoir pas pu venir hier ! Ça tétonne ?
- Non ! Mentis-je effrontément, javais bien remarqué comment tu me regardais tous ces derniers jours ! Rien quà voir tes yeux briller, jétais sûr que tu bandais comme un âne en me regardant ! Oses me dire que ce nest pas vrai !
- Si cest vrai ! Tu peux dire que tu me fais bander comme un âne, chaque fois que je te vois ! Maintenant aussi, je bande comme un âne ! Mets ta main et tu verras ! Vas-y naie pas peur, il ne mord pas ! Touche-le ! Je suis sûr que tu en as autant envie que moi ! Tu veux que je le sorte pour que tu vérifies ?
Je ne répondis pas, mais tout mon être hurlait un immense « Oui ! ». « Oui, je veux le voir ! » « Oui, sors-le ! » « Oui, je veux le caresser pendant que tu conduis ! ». Il fit comme sil entendait réellement le cri de mon corps : il défit la ceinture de son pantalon, tout en conduisant doucement, ouvrit sa braguette et en sortit un immense sexe, raide comme un glaive. Il se tourna vers moi, pour voir leffet que le monstre avait sur moi. Dans ma vie amoureuse, je navais encore vraiment vu et consommé que le zob de Slim, qui était dune bonne taille ; jai aussi apprécié ceux des vidéos et photos pornographiques que je regardais avec mon mari. Mais jamais je navais encore vu un sexe aussi beau et aussi long. Il nétait pas très gros, mais il avait une longueur colossale ; et le gland qui le terminait était immensément large et pointu ! Il avait la forme dune tête de champignon, mais pointue !
Javais tout de suite eu envie de le prendre dans ma main et de le caresser. Je crois que depuis quil avait sorti son engin de son pantalon, javais arrêté de penser et de réfléchir. Je nétais plus moi ! Je nétais plus quune femelle en chaleur qui voulait se faire tirer. Jétais la pouliche prête à la saillie ! Jétais la génisse qui attendait avec impatience le bon vouloir de son taureau ! Je ne disais rien, mais ne pus retenir ma main qui était allée empoigner le bel engin et se mit à le branler vigoureusement.
Il se mit à gémir de plaisir et serra ma main pour quelle ne quitte pas lendroit, ni narrête de le masturber. Il regarda, à droite et à gauche pour voir sil pouvait sarrêter sur la bande darrêt durgence de lautoroute, pour profiter de mes caresses plus à laise. Je lui fis non de la tête. Je ne voulais pas quune patrouille de motards de la police ou de la gendarmerie nationale nous surprenne sur le bord de la route, dans une situation dattentat à la pudeur. Dans nos contrées, cest un délit passible de plusieurs années de prison, surtout pour une femme mariée, surprise en état dadultère !
Il continua donc de conduire vers la destination initiale (que je ne connaissais pas encore) tout en retenant ma main pour quelle continue de le caresser. Il était tout rouge ; au bord de lapoplexie ! Pour corser la situation, je relevai encore plus haut le bas de la robe légère et courte que je portais. Je voyais ses yeux sortir de leurs orbites, quand ils aperçurent ma belle chatte, bombée, épilée et brillante de mouille. Je navais pas mis de culotte ! Il ne savait plus quoi faire : continuer de conduire, au risque de provoquer un accident, tant son regard ne soccupait plus que de ma chatte et délaissait la route ; arrêter la voiture sur le bas côté, pour soccuper de me la caresser
et plus si possible ! Ou alors accélérer et foncer vers lendroit où il comptait memmener dès le début, pour me tirer ! Ce fut cette dernière solution que je lui suggérais en serrant très fort son immense zob et en lui disant avec des trémolos dans la voix :
- Allons vite dans un endroit, où nous serons en sécurité pour baiser comme des bêtes ! Jai autant envie que toi de baiser ! Vite emmène- moi quelque part !
- Oui, il y a un petit hôtel où jai une chambre à lannée, pas très loin ! Allons-y vite ! Bon Dieu, ce que jai envie de toi ! Jai rarement eu autant envie dune femme ! Pourtant je suis un chaud lapin ! Continue de me caresser le zob comme ça ! Tu as de lélectricité dans la main ! Pas si fort ! Tu vas me faire éjaculer ! Je ne veux pas éjaculer dans ta main ! Je veux déverser tout mon sperme dans ta superbe chatte ! Jen ai rarement vu daussi belle ! Montre-la-moi encore ! Ça y est ! Nous voici arrivés ! Enlève ta main, pour je remette mon zob dans le pantalon ! Abaisse ta robe ! Suis-moi, sans rien dire ! Le patron me connaît, et sait pour la chambre !
Nous passâmes par la réception et je me faisais toute petite, un peu honteuse tout de même de me trouver dans une telle situation. Mais lenvie de me faire tirer par le bel engin que javais tenu et caressé pendant près dune demi-heure, était tellement forte que plus rien dautre ne comptait. Sofiane prit la clé, que le réceptionniste lui tendit sans même quil la lui demande, me prit par la taille et me guida vers les escaliers. La chambre se trouvait au premier étage. Il ouvrit rapidement, me fit entrer, referma la porte et se déchaîna sur moi.
En moins de temps quil ne faut pour le dire, je me suis retrouvée toute nue, debout, le dos collé contre la porte dentrée, la jambe droite relevée et maintenue sous le genou par sa puissante main gauche. Il déboutonna son pantalon, sortit son immense glaive, plia légèrement ses genoux pour se retrouver sous moi, plaça la tête de champignon de son sexe entre mes grandes lèvres et dun mouvement brusque et brutal, me pénétra.
- Aie ! Criai-je. Doucement, tu es entrain de me déchirer !
- Oui, crie ! Je veux que tu cries ! Je veux que tu gouttes à la puissance de Popaul ! Il va te démolir la vulve ! Jaime démolir les salopes de ton genre ! Dis-moi que tu aimes Popaul !
- Oui jadore ! Continue ! Montre-moi que tu es un homme, un vrai ! Sors-le par ma bouche ! Je le sens bien ! Jaime les zobs comme le tien ! Enfonce-le encore plus !
Javais adoré, pendant les douze années de mariage avec Salim, les moments où il me prenait en force ; où il me faisait sentir la puissance de son sexe dans mon vagin et dans tous mes autres trous. Javais toujours pensé avoir été au maximum du plaisir sexuel. Slim avait toujours été pour moi, un amant extraordinaire et surtout très imaginatif. Mais là avec Sofiane, jétais entrain de goutter à un plaisir bestial. Au plaisir que devait avoir la pouliche qui se faisait saillir ou la génisse qui subissait les assauts de son taureau ! Au plaisir de la chienne en chaleur, qui refuse de relâcher le sexe du male, quelle tient enfoncé en elle ! Je me faisais tirer par un bel homme, que je ne connaissais que depuis une heure et qui était entrain de me défoncer la chatte à grands coups de boutoir !
Nous hurlions notre plaisir, moi adossée à la porte dentrée dune chambre dun hôtel que je ne connaissais pas, la jambe retenue en position relevée par une main puissante, mes mains accrochées à sa nuque et la chatte pleine dun immense zob qui montait et descendait à un rythme infernal et qui menaçait de me déchirer la vulve, tant il était long, le gland très large et aussi dur que de la pierre. Lui il pliait et dépliait les genoux pour mieux me pénétrer, avec une amplitude de plus en plus grande, limant la paroi de mon vagin avec le large gland de son engin, me faisant pâmer de plaisir.
Je perdis toute notion du temps et tout sens de la réalité. Plus rien ne comptait que cette chaleur et cette douleur si agréable, que je ressentais dans mon ventre. Chaleur qui memmenait petit à petit vers le nirvana des amants. Je sentais que jallais défaillir et mévanouir, tant ma respiration était devenue rapide et saccadée. Je nallais pas tarder à mourir d me dis-je, toute heureuse den être arrivée là. Je me disais que la formule « mourir de plaisir ! Ne pouvait signifier que cette sensation de pâmoison que je ressentais en ce moment ». Et jétais heureuse de frôler la mort de cette manière !
Ce fut à ce moment que je sentis arriver, comme un torrent impétueux, un immense orgasme qui me fit pousser un interminable cri de plaisir, rapidement rejoint par le même cri de mon compagnon qui sétait mis à éjaculer une quantité incroyable de foutre, que les allers-retours de son sexe dans mon vagin, rejetaient par terre, en compagnie de tous le jus que moi-même je secrétais. Jétais sûre que tout le monde dans lhôtel avait dû nous entendre ! Mais aucun de nous deux ny tint compte ! Nous continuâmes encore longtemps à gémir et à respirer très fort, pour essayer de reprendre notre souffle, tout en continuant à nous balancer. Moi pour ne pas voir finir le superbe empalement de ma chatte sur le très long zob de mon amant ; lui pour continuer à bander en bougeant doucement ses hanches, pour maintenir le frottement de son gland sur la paroi de mon vagin.
Ce fut la fatigue qui eut raison de notre fureur à rester ainsi empalés lun sur lautre. Jétais devenue trop lourde pour quil puisse, malgré sa réelle force, rester encore longtemps dans cette position, où il devait supporter tout mon poids. Nous nous écroulâmes à genoux par terre, en nous embrasant avec fougue, comme pour nous remercier mutuellement du plaisir que nous sous sommes donnés lun à lautre. Au bout dun long moment, passés à nous enlacer tendrement et à reprendre nos forces, il se leva, me tendit les bras pour que je me blottisse contre lui et me porta jusque sur le grand lit de la chambre, sur lequel il mallongea.
Il passa presque une minute à me dévorer des yeux. Il avait le sourire de carnassier quil mavait souvent montré, quand il me draguait au volant de sa voiture. Je savais quil allait dire quelque chose dimportant qui lui tenait à cur, et que moi je voulais entendre.
- Tu es un magnifique coup ! Tu baises comme une déesse ! Jai connu beaucoup de femmes, mais je nai pas encore rencontré une comme toi ! Non seulement tu es belle et sensuelle, mais tu aimes le sexe! Je lavais deviné dès la première fois que je tai vue ! Je savais que tu étais faite pour moi ! Tu sais, jai trente cinq ans, et je viens de rentrer des Etats-Unis où jai fait mes études et où javais espéré faire ma vie. Mon père en a décidé autrement.
Sofiane se mit alors à me raconter son histoire. Il était encore célibataire. Il avait été un moment, il y a huit ans, fiancé avec une jeune femme de la bonne société algéroise, attirée par sa situation de fils dun richissime homme daffaires. Elle lui plaisait vraiment et il avait même fini par tomber amoureux delle. Et elle de lui ! Mavait-il affirmé. Ils firent même lamour et prirent beaucoup de plaisir à se rencontrer en cachette de leurs parents respectifs et à batifoler comme des tourtereaux. Et puis un jour, son père la rencontra et tomba follement amoureux delle. Avec son argent, il ne tarda pas à léloigner de son fils et à lépouser. Sofiane, a gardé beaucoup de ressentiment envers son père. Il partit pour les Etats-Unis pour poursuivre ses études et ne revint quenviron huit années plus tard. Il avait revu, avec beaucoup dappréhension, Aïcha, qui était maintenant devenue sa belle-mère.
- Tu nas plus refait lamour avec elle, depuis quelle est mariée ?
- Oh que si ! Mon père a toujours été du genre gâté: dès quil a obtenu, par nimporte quel moyen, la chose quil désire, il en profite un moment, puis ne sintéresse plus à elle. Et Aïcha, na pas mis longtemps à sen rendre compte ; elle sen était mordue les doigts et avait voulu revenir vers moi ; mais cétait trop tard ! Mon amour pour elle, avait totalement disparu. Maintenant, il ne reste plus que le sexe ! Ils nous arrivent, quand mon père est absent de coucher ensemble et de prendre du plaisir (pour moi, il sagit surtout de revanche contre mon père !). Un jour je te la présenterai : tu verras, cest une personne vraiment intéressante, sexuellement parlant.
- Pourquoi pas ? Tu comptes me garder longtemps avec toi ? Je te plais tant que ça ?
- Beaucoup plus que tu ne croies ! Dailleurs, aujourdhui, tu restes avec moi toute la nuit !
- Tu es fou ! Et mon mari ? Tu sais bien que je suis mariée et que Slim et moi formons un couple uni et inséparable ! Je laime et il maime !
- Et alors ! Appelle-le ! Dis-lui que tu as un empêchement majeur et que tu ne peux pas rentrer ce soir !
- Impossible ! Je pourrais rentrer un peu tard la nuit ; mais il faut absolument que je rentre. Quand je lui en parlerais et sil me donne son autorisation, nous pourrons passer plein de nuits ensemble !
- Quoi ? Tu veux dire que ton mari te laisserait passer la nuit avec un amant ?
- Je pense que oui ! Slim est un mari exceptionnel ! Il ne veut que mon bonheur ! Et si mon bonheur est de baiser avec toi, je pense quil acceptera. Aller, viens ! Déshabille-toi et vient me tirer comme une bête ! Jai encore envie de ta magnifique queue, celle que tu appelles Popaul !
- Pourquoi, toi tu ne donnes pas de surnom à ta chatte ? Elle est pourtant superbe ! Toutes les belles femmes que je connais appellent leurs chattes par un petit surnom ! Pas toi ?
- Non moi je lappelle de son appellation arabe « Saouti ! » ou quand je bande vraiment « hatchouni ! » Cest vulgaire, mais ça me plait et ça mexcite et ça me fait bander. Et quand je prononce le mot « hatchoun ! » devant mon mari, il ne se retient plus ! Allez, montre-moi Popaul que je le bouffe ! Je vais te faire une superbe pipe !
- Non, cest moi lhomme ! et cest lhomme qui décide ! Je vais tenculer ! Tu me feras une pipe plus tard, quand jen aurais fini avec ton beau cul !
- Tu vas me avec ton glaive ! Slim a un beau manche, plus gros que le tien, mais avec un gland moins large et un manche moins long ! Et déjà lui me fait mal en menculant ! Tu vas me faire très mal ?
- Ouiiiiiii ! Jadore faire mal à mes maîtresses ! Surtout en les enculant ! Je vais me régaler et toi tu ne pourras pas tasseoir pendant quelques jours ! Aller mets-toi en position sur le dos, les jambes relevées très haut et pliées de part et dautre de ta sublime poitrine ! Je veux que tu regardes Popaul te défoncer le cul !
Slim mavait déjà fait apprécier la sodomisation dans la position que Sofiane me demandait de prendre. Il mavait appris à me masturber en même temps quil me pénétrait en force. Et jai toujours adoré cela. Je me mis donc en position, offrant mon anus déjà bien ouvert par le gros zob de Slim, à Popaul, qui me pénétra sans précaution aucune. Pas même celle dy mettre un peu de salive pour lubrifier lentrée. Sofiane y alla en force, labourant mon cul, en poussant des han de bûcheron. Il me faisait vraiment mal, mais il ne tint aucun compte de mes cris de douleur. Il savait quau bout de quelques secondes, mon rectum sera lubrifié et que je prendrai autant de plaisir que lui. Et de fait, très rapidement mon cul me fit moins mal et je me mis à accompagner les han et les gémissements de mon amant, par des petits cris de plaisir.
Jaimais vraiment cette sensation de rectum rempli par un le bel engin de Sofiane. Je le sentais qui allait et venait en frottant très fort sur les parois de mon boyau. Ce fut le moment que je choisis pour inclure ma main droite dans le jeu. Je la portai sur ma chatte, entrouvrit les grandes lèvres et introduisis directement trois doigts à lintérieur de mon vagin, leur faisant faire un furieux mouvement de va-et-vient, au même rythme que celui de Popaul dans mon cul. Mon Dieu, cette sensation de double pénétration ! Je crois que cest vraiment le sommet du plaisir sexuel ! Mes doigts et Popaul se croisaient à chaque fois, et se touchaient à travers les fines membranes des parois vaginale et rectale. Pour moi, cétait comme si deux magnifiques sexes allaient et venaient en moi pour memmener au septième ciel (ou même au huitième, sil en existait un !). Pour lui, et il me le faisait savoir en gémissant, cétait comme si je le masturbais en même temps quil me tirait !
- Tu es une diablesse ! Tu me donnes en une seule fois un double plaisir ! Tu me masturbes et je tencule ! Tu vas me faire mourir !
- Oui, mourons ! Mourons damour ! Mourons en baisant comme des bêtes !
Jétais vraiment déchaînée ! Je ne croyais pas que pour mon premier « cocufinage », jallais me comporter comme cela : sans aucune retenue ! Je me comportais comme si javais fait cela toute ma vie ! Comme si jétais une vraie pute ! Et jaimais vraiment cela ! Et Sofiane aussi, qui narrêtait pas de dire quil adorait mon cul ! Quil adorait ma main ! Quil madorait ! Quil voulait me garder avec lui ! Que je lui donnais beaucoup de plaisir et de bonheur ! Et quand lorgasme arriva, encore plus fort que le premier, nous explosâmes littéralement. Comme des bombes ! Sofiane qui narrêtait pas de parler, gémir, crier et baver, tendit tous ses muscles en accroissant encore plus lintensité de ses coups de boutoirs. Il hurla subitement, et se mit à lâcher, par grosses giclées, tout le sperme qui lui restait dans les couilles.
Je le vis ressortir, coloré en marron, de mon cul et sétaler sur le drap du lit. Moi aussi je déchargeai en hurlant tout mon plaisir de jouir et me mis à sécréter des litres de cyprine, que les furieux va-et-vient de mes doigts, expulsaient à lextérieur de mon vagin, pour aller se mélanger au sperme devenu brunâtre de Sofiane. Nous étions fourbus ! Mais tellement heureux !
- Je voudrais vraiment que tu restes avec moi, au moins cette nuit ! dit-il en membrassant tendrement. Tu sais, je crois que je ne pourrais plus me passer de toi ! Je vais être jaloux même de ton mari ! Restes avec moi !
- Cette nuit, je ne peux pas ! Tu sais cest la première fois que je trompe mon mari (avec son consentement !). Je voudrais dabord voir comment il va prendre la chose. Et si réellement, cest bien cela quil veut ? Je tinviterais même à venir chez nous ! Tu veux bien venir chez nous ? Tu voudras bien me tirer devant mon mari ? Dis-moi Oui !
- Je nai encore jamais fait une chose pareille ! Mais toi, tu me plais tellement que je suis capable de tout, pour te garder : même te partager avec ton mari, ou même avec dautres hommes ! En leur présence !
Et ce fut ainsi que Sofiane est entré dans notre vie à Slim et à moi. Il a été pour moi un amant vraiment exceptionnel, infatigable, acceptant tout de moi (et de Slim !). Quand je suis rentrée, cette nuit là il était passé vingt deux heures je trouvai mon mari qui mattendait anxieux. Non pas quil avait eu peur quil me soit arrivé quelque chose de fâcheux (je lavais averti par téléphone que jallais tarder pour rentrer), mais il était surtout impatient que je lui raconte mon aventure avec Sofiane. Jétais rentrée à la maison sans même mêtre douchée : je voulais garder les traces de sperme de mon amant et les montrer à mon mari. Le résultat fut immédiat : Slim se mit à membrasser et à me lécher, comme si les traces quavait laissées sur moi Sofiane, le rendaient complètement fou de désir ! Cétait comme sil sentait la présence de mon amant, et quil limaginant entrain de me tirer comme une bête.
Il voulait tout savoir : jusquà mes plus intimes sensations, pendant que mon bel amant me baisait ! Je lui ai tout raconté et cela lavait tellement excité que, malgré la fatigue que javais emmagasinée, je métais remise à mouiller. Et nous fîmes lamour plusieurs fois pendant la nuit, pour calmer notre désir, devenu insatiable.
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Laventure de Warda avec Sofiane, continua pendant longtemps. Sofiane avait fait la connaissance de Slim et lhistoire à trois avait rapidement commencée. Elle eut même plus tard, une extension imprévue avec le père et la belle-mère de son amant. Mais cela est une autre histoire que ma merveilleuse Shahrazade ma promis de me raconter une autre fois.
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